(J'ai pris cette photo lundi. Comme quoi, il y a du soleil en Bretagne !)
Voilà bientôt un an que je passe devant cette caverne aux trésors tous les jours sans jamais avoir osé y pénétrer. Depuis hier, c'est chose faite. Alors comme avec ma librairie Gwalarn, j'y ai passé une bonne partie de l'après midi, fouillant, observant, fouinant les moindres recoins, écarquillant les yeux devant toutes ces étagères, penchant ma tête pour mieux lire les titres et les trésors qu'elles renferment. Je ne pouvais décemment pas partir sans prendre ma carte d'abonnement. 20€ pour l'année. Pour ma petite bourse c'est cher mais ça vaut le coup. J'ai le droit d'emprunter ce que je veux (Livres, livres audio, CD, DVD, revues..) dans la limite de dix pour trois semaines. Et si j'emprunte un livre dans le cadre du club de lecture, je dois le lire en une semaine pour que tout le monde puisse en profiter.
Et puis, j'ai découvert aussi, grâce à cette médiathèque, l'existence d'un club de lecture ! Alors là, j'étais folle. Folle de joie parce que depuis le temps que j'en rêvais.. Le prochain rendez-vous aura lieu le samedi 17 novembre à 10h30, à la médiathèque donc. Je ne sais pas encore si je me lance dans l'aventure ou pas mais j'en ai fortement envie. Et comme cette envie ne tient qu'à un fil, j'ai emprunté Ce qu'il advint du sauvage blanc de François Garde.
Au programme:
Le bonheur conjugal de Tahar Ben Jelloun
Un peintre, au sommet de sa gloire, se retrouve du jour au lendemain cloué dans un fauteuil roulant, paralysé par une attaque cérébrale. Muré dans la maladie, il rumine sa défaite, persuadé que son mariage est responsable de son effondrement. Aussi décide-t-il, pour échapper à la dépression qui le guette, d'écrire en secret un livre qui racontera l'enfer de son couple.
Ce qu'il advint du sauvage blanc de François Garde
Au milieu du XIXe siècle, Narcisse Pelletier, un jeune matelot français, est abandonné sur une plage d'Australie. Dix-sept ans plus tard, un navire anglais le retrouve par hasard: il vit nu, sait chasser et pêcher à la manière de la tribu qui l'a recueilli. Il a perdu l'usage de la langue française et oublié son nom.
Pour seul cortège de Laurent Gaudé
En plein banquet, à Babylone, au milieu de la musique et des rires, soudain Alexandre s'écroule, terrassé par la fièvre. Ses généraux se pressent autour de lui, redoutant la fin mais préparant la suite, se disputant déjà l'héritage - et le privilège d'emporter sa dépouille.
Des confins de l'Inde, un étrange messager se hâte vers Babylone. Et d'un temps éloigné où elle s'est réfugiée pour se cacher du monde, on tire une jeune femme de sang royal: le destin l'appelle à nouveau auprès de l'homme qui a vaincu son père...
Et pour finir, quelques liens utiles que j'ai découvert aussi en fouillant sur le net. Liens que vous retrouverez dans ma blogroll. Il s'agit du blog de ma librairie, de mon club de lecture et aussi de la médiathèque.
Gwalarn
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