Titre: Toi
Auteur: Zoran Drvenkar
Genre: Polar / Thriller
Quatrième de couverture: Imagine une tempête de neige sur l'autoroute, un bouchon de plusieurs kilomètres, aucune visibilité. Un homme sort de sa voiture et assassine froidement et méticuleusement, à mains nues, vingt-six personnes dans les véhicules alentour. C'est le début d'une série de meurtres sans mobile apparent commis par celui que la presse surnomme bientôt « le Voyageur ».
Imagine cinq adolescentes. Cinq amies – avec leurs espoirs et leurs peurs, leurs envies et leurs problèmes – que rien ne peut séparer et qui vont devoir affronter le pire. Prises en chasse par un homme à qui tu ne voudrais pas avoir affaire, elles se jettent dans une fuite en avant désespérée.
Imagine enfin un hôtel isolé en Norvège, où se déroule l’ultime confrontation dans un dénouement qui te laissera sans voix.
Mon avis: Lu en LC avec C'era, c'était un ascenseur émotif littéraire...
"Le Voyageur", bloqué dans une tempête de neige et qui assassine de sang froid toutes les personnes se trouvant dans les véhicules alentours.
Cinq jeunes filles inséparables qui se retrouvent mêlées à une affaire dont elles se seraient bien passé.
Des hommes qui semblent sans histoire.
Et le huit clos peut commencer...
Si le début m'a aspirée tel un gouffre sans fond avec une narration des plus originale à la deuxième personne du singulier, la suite m'a totalement larguée...
Ça commençait sur les chapeaux de roues. Une narration très particulière à la deuxième personne qui nous plonge directement et successivement dans la peau de nos personnages. Trois intrigues décousues mais qui, on le sent dès le début, ont un lien étroit. Alors on attend, on observe, tout en étant on ne peut plus impliqué. J'ai eu la chair de poule avec ce décor planté dans lequel j'avançais à reculons.
Les liens se font, tranquillement mais sûrement. Amenés de manière très subtile, comme j'aime. J'avais atteint l'apogée de ma lecture.
Puis tout d'un coup, j'ai perdu le fil. L'auteur est allé trop loin et je me suis égarée. Trop de longueurs, trop de personnages, trop de manières et de sous entendus. Je ne m'y retrouvais plus. Je me suis accrochée jusqu'au bout, pensant raccrocher les wagons et en fait non, ça n'a pas collé.
L'histoire de fond ne m'a pas emballée plus que ça alors ça n'a pas aidé à mon adhésion au récit.
Je ne lis pas un livre pour me torturer l'esprit ni pour me concentrer autant. Du coup je n'ai certainement pas compris et atteint le dénouement avec la force qu'il fallait. C'est dommage mais à trop vouloir en faire, j'ai été mis sur le banc de touche..
"Le Voyageur", bloqué dans une tempête de neige et qui assassine de sang froid toutes les personnes se trouvant dans les véhicules alentours.
Cinq jeunes filles inséparables qui se retrouvent mêlées à une affaire dont elles se seraient bien passé.
Des hommes qui semblent sans histoire.
Et le huit clos peut commencer...
Si le début m'a aspirée tel un gouffre sans fond avec une narration des plus originale à la deuxième personne du singulier, la suite m'a totalement larguée...
Ça commençait sur les chapeaux de roues. Une narration très particulière à la deuxième personne qui nous plonge directement et successivement dans la peau de nos personnages. Trois intrigues décousues mais qui, on le sent dès le début, ont un lien étroit. Alors on attend, on observe, tout en étant on ne peut plus impliqué. J'ai eu la chair de poule avec ce décor planté dans lequel j'avançais à reculons.
Les liens se font, tranquillement mais sûrement. Amenés de manière très subtile, comme j'aime. J'avais atteint l'apogée de ma lecture.
Puis tout d'un coup, j'ai perdu le fil. L'auteur est allé trop loin et je me suis égarée. Trop de longueurs, trop de personnages, trop de manières et de sous entendus. Je ne m'y retrouvais plus. Je me suis accrochée jusqu'au bout, pensant raccrocher les wagons et en fait non, ça n'a pas collé.
L'histoire de fond ne m'a pas emballée plus que ça alors ça n'a pas aidé à mon adhésion au récit.
Je ne lis pas un livre pour me torturer l'esprit ni pour me concentrer autant. Du coup je n'ai certainement pas compris et atteint le dénouement avec la force qu'il fallait. C'est dommage mais à trop vouloir en faire, j'ai été mis sur le banc de touche..
Prochaine lecture: Club privé, Gil Debrisac