Titre: N'oublie pas les oiseaux
Auteur: Murielle Magellan
Genre: Autobiographie
Quatrième de couverture: C'est l'histoire d'une passion, sa nudité, sa beauté, sa cruauté, sa douceur et ses secousses.
Elle, Murielle, 17 ans au début, apprentie chanteuse à l'école des variétés de Paris. Un cri dans une enveloppe discrète.
Lui, le Russe, l'homme slave, le professeur dangereusement séduisant, ange fatigué mais toujours en service.
Leur amour fou, long et compliqué.
Et c'est parce que cette histoire vraie est en tous points romanesque que l'auteur a voulu la raconter.
Mon avis: Si j'avais su en ouvrant ce livre qu'il allait raconter mon histoire, je l'aurais refermé de suite. Parce que je crois n'avoir jamais autant été bouleversée par un livre.
Il raconte l'histoire vraie d'un amour fou entre Murielle et le Russe, l'homme slave comme elle l'appelle durant tout le roman. Et c'est Murielle, l'auteure et héroïne, qui s'en charge. Et elle parle de cet amour destructeur. Tantôt heureux, tantôt tragique. Parce que l'amour est un piège inextricable. Elle a réussi à en extraire tous ses dédales et nous les livrer sans retenue. Mais toujours avec pudeur et respect.
Et elle en parle de manière touchante, avec toute sa sensibilité de femme, ses souffrances, ses douleurs, ses attentes irréalisées et irréalisables, son espoir qui la soutient malgré tout. Elle parle de ses maux avec des mots. Elle met des mots sur ses maux.
Les thèmes abordés sont très durs et d'autant plus quand ils nous font écho. Il y a la rencontre, les séparations, les envies d'une femme, les exigences de l'homme, ...
Rappelons nous que cette histoire est vraie. Alors bien que romancé, le récit est agrémenté des extraits de ses propres journaux intimes. Et tout prend alors une autre valeur. Celle du réel, de l'éprouvé. Pas du fictif qu'on pourrait avoir imaginé ou spéculé. Non, le concret, le vécu, le vrai.
J'ai eu mal. Physiquement. Mais j'ai eu de l'espoir aussi. Parce qu'elle me raconte la fin de son histoire.... J'ai été parfois bouleversée, parfois rassurée. Ses confessions à coeur ouvert m'ont fait du bien. Parce que cette histoire est unique et aussi folle que la mienne. J'ai compris beaucoup de choses et je me suis sentie comprise.
Merci pour ce moment aussi terrifiant que fabuleux.
Il raconte l'histoire vraie d'un amour fou entre Murielle et le Russe, l'homme slave comme elle l'appelle durant tout le roman. Et c'est Murielle, l'auteure et héroïne, qui s'en charge. Et elle parle de cet amour destructeur. Tantôt heureux, tantôt tragique. Parce que l'amour est un piège inextricable. Elle a réussi à en extraire tous ses dédales et nous les livrer sans retenue. Mais toujours avec pudeur et respect.
Et elle en parle de manière touchante, avec toute sa sensibilité de femme, ses souffrances, ses douleurs, ses attentes irréalisées et irréalisables, son espoir qui la soutient malgré tout. Elle parle de ses maux avec des mots. Elle met des mots sur ses maux.
Les thèmes abordés sont très durs et d'autant plus quand ils nous font écho. Il y a la rencontre, les séparations, les envies d'une femme, les exigences de l'homme, ...
Rappelons nous que cette histoire est vraie. Alors bien que romancé, le récit est agrémenté des extraits de ses propres journaux intimes. Et tout prend alors une autre valeur. Celle du réel, de l'éprouvé. Pas du fictif qu'on pourrait avoir imaginé ou spéculé. Non, le concret, le vécu, le vrai.
J'ai eu mal. Physiquement. Mais j'ai eu de l'espoir aussi. Parce qu'elle me raconte la fin de son histoire.... J'ai été parfois bouleversée, parfois rassurée. Ses confessions à coeur ouvert m'ont fait du bien. Parce que cette histoire est unique et aussi folle que la mienne. J'ai compris beaucoup de choses et je me suis sentie comprise.
Merci pour ce moment aussi terrifiant que fabuleux.
Prochaine lecture: Métamorphose, Tome 2: Paradis obscur, Ericka Duflo