Titre: Pressentiments
Auteur: Katherine Webb
Genre: Drame / Historique
Quatrième de couverture: En 2011, en Belgique, le cadavre parfaitement conservé d’un soldat de la Grande Guerre est découvert, avec, dans ses poches, deux lettres signées H. Canning. Chargée de l’identifier, Leah, journaliste, va remonter le fil d’une histoire initiée un siècle plus tôt, dans une bourgade tranquille du Berkshire, lors d’un été caniculaire. L’été où le révérend Canning et sa naïve épouse Hester voient leur vie bouleversée par l’arrivée de la nouvelle bonne, Cat, ainsi que d’un troublant jeune homme versé dans les sciences occultes. L’été où s’est noué une drame si terrible que, cent ans plus tard, les conséquences s’en font encore sentir…
Mon avis: Ce livre était dans ma PAL depuis le 30 août 2016. Presqu'un an. Du jamais vu. Il était temps que je le sorte de là.
Il est des quatrièmes qui trichent un peu. Pour se faire plus vendeuses, plus attrayantes. Ici, pas de gros écarts avec la réalité mais je m'attendais à un petit quelque chose d'autre.
Deux époques éloignées de cent ans. 1911 - 2011. Et on alterne entre ces deux périodes. L'une d'avant guerre dans une famille de pasteur avec sa femme et ses deux domestiques. Et l'arrivée d'un homme qui va bouleverser leurs vies. L'autre contemporaine où le cadavre d'un soldat vient d'être découvert, porteur de deux lettres pour le moins troublantes. Et l'on se dit que forcément, le mystère de l'une va se résoudre dans l'autre.
Alors l'enquête est souvent mise au deuxième plan, elle n'est pas l'intrigue principale du roman. Bien que l'on tende à aboutir à la découverte des identités respectives du tueur et de sa victime. On l'oublie même avant de retrouver des petites piqûres de rappel. 2011 avance parfois plus vite que 1911. Certains éléments sont révélés avant même que nous ayons avancé dans l'histoire ancienne. Nous sommes plus plongés dans l'univers d'avant guerre. J'ai adoré cette petite vie presque paisible dans cette famille qui décline petit à petit. Le drame s'installe en même temps que ce Robin Durrant... Je ne vous en dis pas plus.
J'ai beaucoup aimé la façon dont tout ça est raconté. Aucune difficulté de compréhension, l'écriture est fluide. Rien d'alambiqué. Tout dans la simplicité et l'efficacité. Une intrigue intéressante et mystérieuse. Une aventure enchanteresse dans une ambiance atypique. Comme j'aime.
Il est des quatrièmes qui trichent un peu. Pour se faire plus vendeuses, plus attrayantes. Ici, pas de gros écarts avec la réalité mais je m'attendais à un petit quelque chose d'autre.
Deux époques éloignées de cent ans. 1911 - 2011. Et on alterne entre ces deux périodes. L'une d'avant guerre dans une famille de pasteur avec sa femme et ses deux domestiques. Et l'arrivée d'un homme qui va bouleverser leurs vies. L'autre contemporaine où le cadavre d'un soldat vient d'être découvert, porteur de deux lettres pour le moins troublantes. Et l'on se dit que forcément, le mystère de l'une va se résoudre dans l'autre.
Alors l'enquête est souvent mise au deuxième plan, elle n'est pas l'intrigue principale du roman. Bien que l'on tende à aboutir à la découverte des identités respectives du tueur et de sa victime. On l'oublie même avant de retrouver des petites piqûres de rappel. 2011 avance parfois plus vite que 1911. Certains éléments sont révélés avant même que nous ayons avancé dans l'histoire ancienne. Nous sommes plus plongés dans l'univers d'avant guerre. J'ai adoré cette petite vie presque paisible dans cette famille qui décline petit à petit. Le drame s'installe en même temps que ce Robin Durrant... Je ne vous en dis pas plus.
J'ai beaucoup aimé la façon dont tout ça est raconté. Aucune difficulté de compréhension, l'écriture est fluide. Rien d'alambiqué. Tout dans la simplicité et l'efficacité. Une intrigue intéressante et mystérieuse. Une aventure enchanteresse dans une ambiance atypique. Comme j'aime.
Prochaine lecture: Perline, Clémence, Lucille et les autres, Jeanne-Marie Sauvage-Avit