"La lecture est une amitié" - Marcel Proust
Jeudi 4 octobre 2012 [21:11]
Titre: Manon Lescaut
Auteur: Abbé Prévost
Genre: Classique
Résumé: L'Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut est avant tout l'affirmation d'une passion. C'est une passion qui brûle les étapes, ignore les bienséances et les lois, tient de l'idée fixe, ne balance qu'entre le bonheur et la mort.
La confession aventureuse de Des Grieux ne laisse aucune place au remords, à la prière, à l'attente de la grâce, ni même à l'humilité chrétienne. Et pourtant, il n'est pas d'histoire d'amour dans laquelle le Ciel muet soit aussi souvent interrogé, où la misère humaine se confronte autant à la mort et à la transcendance. Le récit est comme suspendu au mystère d'une mort annoncée, qui hante la phrase sans être nommée et qui semble l'exténuer: "Pardonnez si j'achève en peu de mots un récit qui me tue."
Mon avis: Je vais pas m'étendre sur le sujet parce que ce livre a été une déception très pénible à lire.. Je m'excuse d'ailleurs auprès de Coquelicote qui me l'a gentiment prêté. J'aurais préféré en dire du bien mais tu me connais, je suis franche.
D'abord j'ai toujours eu du mal avec les classiques et celui-ci n'a pas échappé à la règle.. Je pense sincèrement que je n'ai pas compris le livre ou su l'apprécier à sa juste valeur.
C'est en fait le récit du chevalier Des Grieux lui même. Donc un long monologue de 219 pages.. Il raconte son histoire d'amour dévastatrice avec Manon Lescaut. Histoire d'amour intense qui oscille entre la fortune puis la misère, la prison, le vol, l'internement, la trahison où Manon Lescaut devient un personnage détestable pour toutes ses tromperies, sa folie, son insensibilité, son besoin de richesse. Alors que Des Grieux l'aime simplement à en mourir jusqu'à son dernier souffle. Il part aussi dans ses travers qui sont autres que le vol, la trahison de son meilleur ami, l'éloignement paternel pour elle. Un naïf qui aime une coureuse de belles choses.
Alors il n'y a pas de longues descriptions où je ne sais quoi mais les phrases sont longues, sans dynamisme, le récit qui saccade la lecture par un vocabulaire peu commun. Je n'ai pas réussi à trouver l'intérêt ni le plaisir de lire ce livre. Sûrement parce que ce n'est pas le genre de lecture niais et facile à lire que je lis habituellement avec avidité. Enfn voilà, une grande déception pour moi qui voulait lire ce livre depuis presque le lycée..
Prochaine lecture: Le parfum, Patrick Süskind
Lundi 13 février 2012 [11:21]
Après ma sortie culturelle du weekend, je viens vous donner mon avis sur ma lecture du weekend !
Titre: Le dernier jour d'un condamné
Auteur: Victor Hugo
Genre: Classique
Résumé: Tout à coup, l'un des valets m'a enlevé ma veste, et l'autre a pris mes deux mains qui pendaient, les a ramenée derrière mon dos, et j'ai senti les noeuds d'une corde se rouler lentement autour de mes poignets rapprochés. En même temps, l'autre détachait ma cravate. Ma chemise de batiste, seul lambeau qui me restât du moi d'autrefois, l'a fait en quelque sorte hésiter un moment; puis il s'est mis à en couper le col.
A cette précaution horrible, au saisissement de l'acier qui touchait mon cou, mes coudes ont tressailli, et j'ai laissé échapper un rugissement étouffé. La main de l'exécuteur a tremblé.
- Monsieur, m'a-t-il dit, pardon ! Est ce que je vous ai fait mal ?
Ces bourreaux sont des hommes très doux.
Extrait: "Que ce que j'écris ici puisse être un jour utile a d'autres, que cela arrête le juge prêt à juger, que cela sauve des malheureux, innocents ou coupables, de l'agonie à laquelle je suis condamné, pourquoi ? à quoi bon ? qu'importe ? Quand ma tête aura été coupée, qu'est ce que cela me fait qu'on en coupe d'autres ?"
Mon avis: Comme le titre l'indique on ne peut mieux, ce sont les vingt quatre dernières heures d'un condamné à mort qui nous sont contées là, par lui même.
Le roman est donc un monologue avec peu de dialogue mais beaucoup de descriptions. Mais pas des descriptions pénibles, lourdes, de trois kilomètres de long, non, ce sont des descriptions actives qui rendent la lecture très visible.
On ne saura jamais l'identité de cet homme ni ce qu'il a fait pour en arriver là mais finalement, c'est pas ce qui compte le plus. L'anonymat ici est d'autant plus justifié que l'auteur a sûrement voulu nous faire réfléchir sur la peine de mort et non sur le cas particulier de cet homme. Pas de polémique ni de débat ouvert sur l'éventuel justesse de la condamnation donc, juste une approche de ce que peut représenter la peine mort pour un homme qui a commis un crime et rentamer la question de cette dernière.
La lecture débute sur une petite comédie entre gens du peuple qui polémiquent sur ce livre. Puis sur le procès, l'annonce de la sentence qui va déclencher pas mal de choses chez le condamné.
Derrière ce personnage, on y découvre les faiblesses d'un homme vulnérable face à la mort, d'un père désespéré et d'un condamné qui prône l'abolition de la peine de mort. Nous avons alors droit à ses souvenirs, à ses pensées pour sa fille unique, ses angoisses, ses réflexions. Et l'espoir de la liberté qui ne le quittera jamais. On y découvre également les coulisses des couloirs de la mort, ces bourreaux qui finalement sont avant tout des hommes.
Vingt quatre heures c'est court, alors on ne s'ennuie jamais. Il y a pas mal d'actions contrairement à ce qu'on pourrait croire.
C'est un petit livre dans lequel on plonge sans s'en rendre compte et qui soulève pas mal de questions sur la peine de mort.
Titre: Le dernier jour d'un condamné
Auteur: Victor Hugo
Genre: Classique
Résumé: Tout à coup, l'un des valets m'a enlevé ma veste, et l'autre a pris mes deux mains qui pendaient, les a ramenée derrière mon dos, et j'ai senti les noeuds d'une corde se rouler lentement autour de mes poignets rapprochés. En même temps, l'autre détachait ma cravate. Ma chemise de batiste, seul lambeau qui me restât du moi d'autrefois, l'a fait en quelque sorte hésiter un moment; puis il s'est mis à en couper le col.
A cette précaution horrible, au saisissement de l'acier qui touchait mon cou, mes coudes ont tressailli, et j'ai laissé échapper un rugissement étouffé. La main de l'exécuteur a tremblé.
- Monsieur, m'a-t-il dit, pardon ! Est ce que je vous ai fait mal ?
Ces bourreaux sont des hommes très doux.
Extrait: "Que ce que j'écris ici puisse être un jour utile a d'autres, que cela arrête le juge prêt à juger, que cela sauve des malheureux, innocents ou coupables, de l'agonie à laquelle je suis condamné, pourquoi ? à quoi bon ? qu'importe ? Quand ma tête aura été coupée, qu'est ce que cela me fait qu'on en coupe d'autres ?"
Mon avis: Comme le titre l'indique on ne peut mieux, ce sont les vingt quatre dernières heures d'un condamné à mort qui nous sont contées là, par lui même.
Le roman est donc un monologue avec peu de dialogue mais beaucoup de descriptions. Mais pas des descriptions pénibles, lourdes, de trois kilomètres de long, non, ce sont des descriptions actives qui rendent la lecture très visible.
On ne saura jamais l'identité de cet homme ni ce qu'il a fait pour en arriver là mais finalement, c'est pas ce qui compte le plus. L'anonymat ici est d'autant plus justifié que l'auteur a sûrement voulu nous faire réfléchir sur la peine de mort et non sur le cas particulier de cet homme. Pas de polémique ni de débat ouvert sur l'éventuel justesse de la condamnation donc, juste une approche de ce que peut représenter la peine mort pour un homme qui a commis un crime et rentamer la question de cette dernière.
La lecture débute sur une petite comédie entre gens du peuple qui polémiquent sur ce livre. Puis sur le procès, l'annonce de la sentence qui va déclencher pas mal de choses chez le condamné.
Derrière ce personnage, on y découvre les faiblesses d'un homme vulnérable face à la mort, d'un père désespéré et d'un condamné qui prône l'abolition de la peine de mort. Nous avons alors droit à ses souvenirs, à ses pensées pour sa fille unique, ses angoisses, ses réflexions. Et l'espoir de la liberté qui ne le quittera jamais. On y découvre également les coulisses des couloirs de la mort, ces bourreaux qui finalement sont avant tout des hommes.
Vingt quatre heures c'est court, alors on ne s'ennuie jamais. Il y a pas mal d'actions contrairement à ce qu'on pourrait croire.
C'est un petit livre dans lequel on plonge sans s'en rendre compte et qui soulève pas mal de questions sur la peine de mort.
Edit: Pour celles et ceux que ça intéresse et parce qu'on m'a demandé de développer un peu plus mon avis, je vais le faire ici. Il est vrai que j'ai du mal à "penser" à donner mon avis. Même dans l'article précédent voyez-vous. xD J'explique, je présente mais ça s'arrête là. Et même si je risque de me faire des ennemis, je reste égale à moi même: Honnête et franche jusqu'au bout des orteils !
Pour ceux qui suivent (Comme La Bavareine) (+1, Check, Wesh, wesh.), je suis totalement pour la peine de mort. (J'en avais parlé ici même pour celles et ceux qui auraient raté un épisode.) Et pour ceux qui suivent encore mieux, j'ai un passé à oublier qui expliquent peut être cela.
J'avais donc absolument voulu lire ce livre pour ça, pour passer de l'autre côté de la barrière. Parce que même si mes idées sont plus qu'arrêtées, je reste toujours ouverte à la découverte, au débat et à l'exposition des points de vue de chacun. Ici donc et à travers ce livre, je voulais tout de même savoir ce qu'il se passe dans la tête d'un condamné. (Même s'il ne s'agit pas ici d'une autobiographie ce qui peut encore relancer un autre objectif mais on parle pas de ça ici.)
Tout d'abord, (Et non, vous saurez pas encore même si vous vous en doutez fortement ! Gnah !), j'ai adoré ce livre par la construction, par le texte, par ce qu'il dégage et comment c'est expliqué. Victor Hugo n'est pas un auteur que j'ai l'habitude de lire mais pour le coup, je n'ai pas été déçue par son style d'écriture. Il est très agréable, fluide. Les descriptions sont justifiées, légères.
Et quant au reste, et bien, malgré tout, je reste campée sur mes positions. Parce que j'estime que c'est pas quand on a fait ses conneries qu'on doit regretter et espérer la clémence de qui que ce soit. (Je parle évidemment des conneries extrêmes hein. Moi aussi j'ai fait des conneries dans ma vie, j'ai assumé et basta. Mais ça sert à rien de se lamenter et de vouloir revenir en arrière.) Donc même si ce livre est touchant (Oui, je suis sensible, oui j'ai une âme.), il n'en reste pas moins vide au fond. Vide dans le sens où je vais pas y repenser, me faire du soucis, me poser des questions. Ce livre bien que très intéressant sur la forme, ne m'a donc pas interpellée sur le fond.
J'avais donc absolument voulu lire ce livre pour ça, pour passer de l'autre côté de la barrière. Parce que même si mes idées sont plus qu'arrêtées, je reste toujours ouverte à la découverte, au débat et à l'exposition des points de vue de chacun. Ici donc et à travers ce livre, je voulais tout de même savoir ce qu'il se passe dans la tête d'un condamné. (Même s'il ne s'agit pas ici d'une autobiographie ce qui peut encore relancer un autre objectif mais on parle pas de ça ici.)
Tout d'abord, (Et non, vous saurez pas encore même si vous vous en doutez fortement ! Gnah !), j'ai adoré ce livre par la construction, par le texte, par ce qu'il dégage et comment c'est expliqué. Victor Hugo n'est pas un auteur que j'ai l'habitude de lire mais pour le coup, je n'ai pas été déçue par son style d'écriture. Il est très agréable, fluide. Les descriptions sont justifiées, légères.
Et quant au reste, et bien, malgré tout, je reste campée sur mes positions. Parce que j'estime que c'est pas quand on a fait ses conneries qu'on doit regretter et espérer la clémence de qui que ce soit. (Je parle évidemment des conneries extrêmes hein. Moi aussi j'ai fait des conneries dans ma vie, j'ai assumé et basta. Mais ça sert à rien de se lamenter et de vouloir revenir en arrière.) Donc même si ce livre est touchant (Oui, je suis sensible, oui j'ai une âme.), il n'en reste pas moins vide au fond. Vide dans le sens où je vais pas y repenser, me faire du soucis, me poser des questions. Ce livre bien que très intéressant sur la forme, ne m'a donc pas interpellée sur le fond.
Mardi 7 février 2012 [11:21]
J'ai donc fini ce p*tain de bouquin de f*ck ! >< Non, je l'ai détesté. Et j'en suis presque désolée pour ceux qui l'ont adoré. J'avais pas prévu de faire un article dessus tellement que j'en peux plus de ce livre que j'ai mit un an à lire. Mais en fait si, parce que je trouve que c'est bien de partager même quand on a pas aimé. Et c'est surtout bien de dire qu'on a pas aimé mais dire pourquoi, c'est encore mieux !
Titre: Les Hauts de Hurle-Vent
Auteure: Emily Brontë
Genre: Classique
Résumé: Les Hauts de Hurle-Vent sont des terres balayées par les vents du nord. Une famille y vivait, heureuse, quand un jeune bohémien attira le malheur. Mr Earnshaw avait adopté et aimé Heathcliff. Mais ses enfants l'ont méprisé. Cachant son amour pour Catherine, la fille de son bienfaiteur, Heathcliff prépare une vengeance diabolique. Il s'approprie la fortune de la famille et réduit les héritiers en esclavage. La malédiction pèsera sur toute la descendance jusqu'au jour où la fille de Catherine aimera à son tour un être méprisable et frustre.
Mon avis: D'abord, il faut savoir que je choisis souvent les livres pour leur titre et pour leur genre. Parce que j'adore les livres autobiographiques.
Donc quand j'ai lu le résumé, j'ai bien aimé, alors je me suis dit pourquoi pas même si ce n'est absolument pas un livre autobiographique. Sauf que dès la première page, j'ai vite déchanté.
D'abord l'écriture est trop "rude" pour moi. C'est de l'écriture du XIXe siècle donc j'te raconte pas les conversations passionnantes en patois..
Ensuite il y a trop, beaucoup trop de personnages. Ca part dans tous les sens, ya trois générations. Il y a tellement de personnages que le traducteur s'est senti obligé de dresser un arbre généalogique. Tu vois l'délire ? Donc quand tu fais comme moi, que tu mets un an pour lire le livre, bah il te faut t'y référer toutes les deux pages.. C'est pas vivable. Et comme si ça suffisait pas à ta peine, l'auteure à respecter ce qui se faisait souvent dans le temps, elle a donné aux gamins le même prénom que les parents. Non là c'est juste à devenir chauve au bout de dix pages. Et il se trouve que c'est un récit dans un récit voire dans un récit. Entrecoupé de milliers de dialogues, de racontages de bouts de vie des personnages, de retour en arrière, si bien que tu sais plus à la fin qui parle, qu'est ce qu'on te raconte, toussah, c'est l'enfer. Il te faut rien que trente pages pour te remettre dans l'histoire, nombre de pages que je n'ai jamais lu d'affilée pour ce bouquin hein. Et puis bon, faut dire que c'était mal parti dès le début parce que c'est pas du tout mon genre de livre. Donc voilà pourquoi j'ai eu horreur de ce livre.
Bon, je suis quand même mauvaise langue parce que j'ai quand même tiré un ou deux trucs de bien dans ce bouquin. Bon déjà, l'histoire est rocambolesque. Fallait le trouver le fil de l'histoire, moi j'te l'dis. Puis après j'me suis dit qu'à cette époque là, ça devait pas être si absurde que ça et que ça a dû arriver plus d'une fois.. Et là tu te dis: "Putain d'merde. Oo"
Et puis il y a aussi la folie des histoires d'amour qui y est très bien illustrée par des procédés qui dépassent un peu le sens parfois, mais soit. Et là tu te rends compte que ça existait déjà. Devenir fou pour son amour. L'amour ça rend malade. Ca rend dingue.
Et puis la chute est, bien qu'attendue, "heureuse". Parce qu'encore à cette époque, le mal finissait toujours par être puni, d'une manière ou d'une autre.
Prochaine lecture: Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo
Titre: Les Hauts de Hurle-Vent
Auteure: Emily Brontë
Genre: Classique
Résumé: Les Hauts de Hurle-Vent sont des terres balayées par les vents du nord. Une famille y vivait, heureuse, quand un jeune bohémien attira le malheur. Mr Earnshaw avait adopté et aimé Heathcliff. Mais ses enfants l'ont méprisé. Cachant son amour pour Catherine, la fille de son bienfaiteur, Heathcliff prépare une vengeance diabolique. Il s'approprie la fortune de la famille et réduit les héritiers en esclavage. La malédiction pèsera sur toute la descendance jusqu'au jour où la fille de Catherine aimera à son tour un être méprisable et frustre.
Mon avis: D'abord, il faut savoir que je choisis souvent les livres pour leur titre et pour leur genre. Parce que j'adore les livres autobiographiques.
Donc quand j'ai lu le résumé, j'ai bien aimé, alors je me suis dit pourquoi pas même si ce n'est absolument pas un livre autobiographique. Sauf que dès la première page, j'ai vite déchanté.
D'abord l'écriture est trop "rude" pour moi. C'est de l'écriture du XIXe siècle donc j'te raconte pas les conversations passionnantes en patois..
Ensuite il y a trop, beaucoup trop de personnages. Ca part dans tous les sens, ya trois générations. Il y a tellement de personnages que le traducteur s'est senti obligé de dresser un arbre généalogique. Tu vois l'délire ? Donc quand tu fais comme moi, que tu mets un an pour lire le livre, bah il te faut t'y référer toutes les deux pages.. C'est pas vivable. Et comme si ça suffisait pas à ta peine, l'auteure à respecter ce qui se faisait souvent dans le temps, elle a donné aux gamins le même prénom que les parents. Non là c'est juste à devenir chauve au bout de dix pages. Et il se trouve que c'est un récit dans un récit voire dans un récit. Entrecoupé de milliers de dialogues, de racontages de bouts de vie des personnages, de retour en arrière, si bien que tu sais plus à la fin qui parle, qu'est ce qu'on te raconte, toussah, c'est l'enfer. Il te faut rien que trente pages pour te remettre dans l'histoire, nombre de pages que je n'ai jamais lu d'affilée pour ce bouquin hein. Et puis bon, faut dire que c'était mal parti dès le début parce que c'est pas du tout mon genre de livre. Donc voilà pourquoi j'ai eu horreur de ce livre.
Bon, je suis quand même mauvaise langue parce que j'ai quand même tiré un ou deux trucs de bien dans ce bouquin. Bon déjà, l'histoire est rocambolesque. Fallait le trouver le fil de l'histoire, moi j'te l'dis. Puis après j'me suis dit qu'à cette époque là, ça devait pas être si absurde que ça et que ça a dû arriver plus d'une fois.. Et là tu te dis: "Putain d'merde. Oo"
Et puis il y a aussi la folie des histoires d'amour qui y est très bien illustrée par des procédés qui dépassent un peu le sens parfois, mais soit. Et là tu te rends compte que ça existait déjà. Devenir fou pour son amour. L'amour ça rend malade. Ca rend dingue.
Et puis la chute est, bien qu'attendue, "heureuse". Parce qu'encore à cette époque, le mal finissait toujours par être puni, d'une manière ou d'une autre.
Prochaine lecture: Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo