J'ai donc fini ce p*tain de bouquin de f*ck ! >< Non, je l'ai détesté. Et j'en suis presque désolée pour ceux qui l'ont adoré. J'avais pas prévu de faire un article dessus tellement que j'en peux plus de ce livre que j'ai mit un an à lire. Mais en fait si, parce que je trouve que c'est bien de partager même quand on a pas aimé. Et c'est surtout bien de dire qu'on a pas aimé mais dire pourquoi, c'est encore mieux !
Titre: Les Hauts de Hurle-Vent
Auteure: Emily Brontë
Genre: Classique
Résumé: Les Hauts de Hurle-Vent sont des terres balayées par les vents du nord. Une famille y vivait, heureuse, quand un jeune bohémien attira le malheur. Mr Earnshaw avait adopté et aimé Heathcliff. Mais ses enfants l'ont méprisé. Cachant son amour pour Catherine, la fille de son bienfaiteur, Heathcliff prépare une vengeance diabolique. Il s'approprie la fortune de la famille et réduit les héritiers en esclavage. La malédiction pèsera sur toute la descendance jusqu'au jour où la fille de Catherine aimera à son tour un être méprisable et frustre.
Mon avis: D'abord, il faut savoir que je choisis souvent les livres pour leur titre et pour leur genre. Parce que j'adore les livres autobiographiques.
Donc quand j'ai lu le résumé, j'ai bien aimé, alors je me suis dit pourquoi pas même si ce n'est absolument pas un livre autobiographique. Sauf que dès la première page, j'ai vite déchanté.
D'abord l'écriture est trop "rude" pour moi. C'est de l'écriture du XIXe siècle donc j'te raconte pas les conversations passionnantes en patois..
Ensuite il y a trop, beaucoup trop de personnages. Ca part dans tous les sens, ya trois générations. Il y a tellement de personnages que le traducteur s'est senti obligé de dresser un arbre généalogique. Tu vois l'délire ? Donc quand tu fais comme moi, que tu mets un an pour lire le livre, bah il te faut t'y référer toutes les deux pages.. C'est pas vivable. Et comme si ça suffisait pas à ta peine, l'auteure à respecter ce qui se faisait souvent dans le temps, elle a donné aux gamins le même prénom que les parents. Non là c'est juste à devenir chauve au bout de dix pages. Et il se trouve que c'est un récit dans un récit voire dans un récit. Entrecoupé de milliers de dialogues, de racontages de bouts de vie des personnages, de retour en arrière, si bien que tu sais plus à la fin qui parle, qu'est ce qu'on te raconte, toussah, c'est l'enfer. Il te faut rien que trente pages pour te remettre dans l'histoire, nombre de pages que je n'ai jamais lu d'affilée pour ce bouquin hein. Et puis bon, faut dire que c'était mal parti dès le début parce que c'est pas du tout mon genre de livre. Donc voilà pourquoi j'ai eu horreur de ce livre.
Bon, je suis quand même mauvaise langue parce que j'ai quand même tiré un ou deux trucs de bien dans ce bouquin. Bon déjà, l'histoire est rocambolesque. Fallait le trouver le fil de l'histoire, moi j'te l'dis. Puis après j'me suis dit qu'à cette époque là, ça devait pas être si absurde que ça et que ça a dû arriver plus d'une fois.. Et là tu te dis: "Putain d'merde. Oo"
Et puis il y a aussi la folie des histoires d'amour qui y est très bien illustrée par des procédés qui dépassent un peu le sens parfois, mais soit. Et là tu te rends compte que ça existait déjà. Devenir fou pour son amour. L'amour ça rend malade. Ca rend dingue.
Et puis la chute est, bien qu'attendue, "heureuse". Parce qu'encore à cette époque, le mal finissait toujours par être puni, d'une manière ou d'une autre.
Prochaine lecture: Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo
Titre: Les Hauts de Hurle-Vent
Auteure: Emily Brontë
Genre: Classique
Résumé: Les Hauts de Hurle-Vent sont des terres balayées par les vents du nord. Une famille y vivait, heureuse, quand un jeune bohémien attira le malheur. Mr Earnshaw avait adopté et aimé Heathcliff. Mais ses enfants l'ont méprisé. Cachant son amour pour Catherine, la fille de son bienfaiteur, Heathcliff prépare une vengeance diabolique. Il s'approprie la fortune de la famille et réduit les héritiers en esclavage. La malédiction pèsera sur toute la descendance jusqu'au jour où la fille de Catherine aimera à son tour un être méprisable et frustre.
Mon avis: D'abord, il faut savoir que je choisis souvent les livres pour leur titre et pour leur genre. Parce que j'adore les livres autobiographiques.
Donc quand j'ai lu le résumé, j'ai bien aimé, alors je me suis dit pourquoi pas même si ce n'est absolument pas un livre autobiographique. Sauf que dès la première page, j'ai vite déchanté.
D'abord l'écriture est trop "rude" pour moi. C'est de l'écriture du XIXe siècle donc j'te raconte pas les conversations passionnantes en patois..
Ensuite il y a trop, beaucoup trop de personnages. Ca part dans tous les sens, ya trois générations. Il y a tellement de personnages que le traducteur s'est senti obligé de dresser un arbre généalogique. Tu vois l'délire ? Donc quand tu fais comme moi, que tu mets un an pour lire le livre, bah il te faut t'y référer toutes les deux pages.. C'est pas vivable. Et comme si ça suffisait pas à ta peine, l'auteure à respecter ce qui se faisait souvent dans le temps, elle a donné aux gamins le même prénom que les parents. Non là c'est juste à devenir chauve au bout de dix pages. Et il se trouve que c'est un récit dans un récit voire dans un récit. Entrecoupé de milliers de dialogues, de racontages de bouts de vie des personnages, de retour en arrière, si bien que tu sais plus à la fin qui parle, qu'est ce qu'on te raconte, toussah, c'est l'enfer. Il te faut rien que trente pages pour te remettre dans l'histoire, nombre de pages que je n'ai jamais lu d'affilée pour ce bouquin hein. Et puis bon, faut dire que c'était mal parti dès le début parce que c'est pas du tout mon genre de livre. Donc voilà pourquoi j'ai eu horreur de ce livre.
Bon, je suis quand même mauvaise langue parce que j'ai quand même tiré un ou deux trucs de bien dans ce bouquin. Bon déjà, l'histoire est rocambolesque. Fallait le trouver le fil de l'histoire, moi j'te l'dis. Puis après j'me suis dit qu'à cette époque là, ça devait pas être si absurde que ça et que ça a dû arriver plus d'une fois.. Et là tu te dis: "Putain d'merde. Oo"
Et puis il y a aussi la folie des histoires d'amour qui y est très bien illustrée par des procédés qui dépassent un peu le sens parfois, mais soit. Et là tu te rends compte que ça existait déjà. Devenir fou pour son amour. L'amour ça rend malade. Ca rend dingue.
Et puis la chute est, bien qu'attendue, "heureuse". Parce qu'encore à cette époque, le mal finissait toujours par être puni, d'une manière ou d'une autre.
Prochaine lecture: Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo