Titre: Ne pars pas sans moi
Auteur: Gilly Macmillan
Genre: Thriller
Quatrième de couverture: Bristol, par un beau dimanche d'automne.
Rachel et Ben, son petit garçon de 8 ans, se promènent en forêt. Débordant d'énergie, Ben demande à sa mère l'autorisation de courir quelques mètres devant. Rachel accepte sans se méfier. Au bout du chemin, l'angoisse la saisit : Ben a disparu. La police fait des recherches, mais en vain. L'affaire s'emballe et les médias s'en mêlent. Le rôle d'une mère n'est-il pas de protéger son enfant ? Rongée par le doute, assaillie par la violence de ceux qui la croient coupable, Rachel ne sais plus quoi faire. Attendre que les forces de l'ordre lui ramènent son fils ou suivre son instinct de mère et partir d'elle-même à sa recherche ?
Mon avis: "Petit" thriller de 600 pages, lu en une journée de repos. De quoi être en immersion totale !
Une mère et son fils en balade puis une seconde d'inattention et c'est le drame. Ben disparaît derrière l'allée de la forêt. Alors que les médias croit la mère coupable, partagée entre la descente aux enfers et le courage de retrouver son fils, c'est la bataille de la vie qui s'engage.
J'ai lu ce livre à une vitesse vertigineuse, pourtant il ne se passe pas grand chose dans la première moitié. J'ai d'ailleurs légèrement paniqué parce que j'avais l'impression qu'on perdait un temps précieux à retrouver ce gosse en vie.
Mais l'auteure l'a joué fine. Elle met en place le scénario, elle dresse le portrait d'une mère désespérée et commence déjà à insinuer le doute en nous.
Qui a enlevé Ben et surtout, pourquoi ?
L'histoire dure sur 7 jours. 7 jours durant lesquels tout le monde est en apnée, hors d'haleine. Le temps nous est compté et chaque détail compte. Tout le monde devient suspect et l'alliance entre la famille et la police s'affine. On part sur plusieurs pistes, de quoi nous remettre sans cesse en question et nous détourner de la vraie cause.
J'ai eu de la compassion pour la mère, de la peur pour ce petit garçon que j'espérais sain et sauf.
Le récit est bien mené. Lorsque la fin arrive, on respire, on espère, on se demande pourquoi. J'avais hâte de savoir comment tout ça allait se terminer. Au moins pour pouvoir innocenter ou pas la famille.
C'est un bon thriller qui fait passer du bon temps.
Une mère et son fils en balade puis une seconde d'inattention et c'est le drame. Ben disparaît derrière l'allée de la forêt. Alors que les médias croit la mère coupable, partagée entre la descente aux enfers et le courage de retrouver son fils, c'est la bataille de la vie qui s'engage.
J'ai lu ce livre à une vitesse vertigineuse, pourtant il ne se passe pas grand chose dans la première moitié. J'ai d'ailleurs légèrement paniqué parce que j'avais l'impression qu'on perdait un temps précieux à retrouver ce gosse en vie.
Mais l'auteure l'a joué fine. Elle met en place le scénario, elle dresse le portrait d'une mère désespérée et commence déjà à insinuer le doute en nous.
Qui a enlevé Ben et surtout, pourquoi ?
L'histoire dure sur 7 jours. 7 jours durant lesquels tout le monde est en apnée, hors d'haleine. Le temps nous est compté et chaque détail compte. Tout le monde devient suspect et l'alliance entre la famille et la police s'affine. On part sur plusieurs pistes, de quoi nous remettre sans cesse en question et nous détourner de la vraie cause.
J'ai eu de la compassion pour la mère, de la peur pour ce petit garçon que j'espérais sain et sauf.
Le récit est bien mené. Lorsque la fin arrive, on respire, on espère, on se demande pourquoi. J'avais hâte de savoir comment tout ça allait se terminer. Au moins pour pouvoir innocenter ou pas la famille.
C'est un bon thriller qui fait passer du bon temps.
Prochaine lecture: L'hôtel des coeurs en miettes, Deborah Moggach