Titre: Certaines n'avaient jamais vu la mer
Auteur: Julie Otsuka
Genre: Historique
Quatrième de couverture: C'est après une éprouvante traversée de l'Océan pacifique qu'elles rencontrent pour la première fois à San Francisco leurs futurs maris. Celui pour lequel elles ont tout abandonné. Celui auquel elles ont tant rêvé. Celui qui va tant les décevoir.
À la façon d'un chœur antique, leurs voix se lèvent et racontent leurs misérables vies d'exilées... leurs nuits de noces, souvent brutales, leurs rudes journées de travail dans les champs, leurs combats pour apprivoiser une langue inconnue, la naissance de leurs enfants, l'humiliation des Blancs, le rejet par leur progéniture de leur patrimoine et de leur histoire... Une véritable clameur jusqu'au silence de la guerre. Et l'oubli.
Mon avis: Que dire de ce livre... Tout est dit dans la quatrième mais moi je ressors plutôt mitigée de cette lecture...
D'abord un peu d'histoire. Ce livre nous raconte l'immigration des femmes japonaises au début du XXe siècle vers les Etats-Unis, parties rejoindre des maris dont elles ignorent tout. J'ignorais totalement ce pan de l'histoire.
C'est la voix d'une d'entre elles qui s'élève pour nous raconter leur voyage, leur rencontre avec leur mari, la naissance de leurs enfants et la traîtresse des Blancs.
C'est donc sur un ton assez monocorde qui tout nous est livré. J'ai eu énormément de mal à ressentir la moindre émotion, la moindre empathie pour ces femmes qui ont été déshumanisées en quête d'une vie meilleure. Lorsque l'ont voit ce qui les attendait, on se demande à quoi bon tout ce mal. Mais elles l'ont fait, courageuses et dans l'acceptation jusqu'au bout.
D'abord un peu d'histoire. Ce livre nous raconte l'immigration des femmes japonaises au début du XXe siècle vers les Etats-Unis, parties rejoindre des maris dont elles ignorent tout. J'ignorais totalement ce pan de l'histoire.
C'est la voix d'une d'entre elles qui s'élève pour nous raconter leur voyage, leur rencontre avec leur mari, la naissance de leurs enfants et la traîtresse des Blancs.
C'est donc sur un ton assez monocorde qui tout nous est livré. J'ai eu énormément de mal à ressentir la moindre émotion, la moindre empathie pour ces femmes qui ont été déshumanisées en quête d'une vie meilleure. Lorsque l'ont voit ce qui les attendait, on se demande à quoi bon tout ce mal. Mais elles l'ont fait, courageuses et dans l'acceptation jusqu'au bout.
C'est un court récit, d'une belle écriture certes, mais qui m'a laissé un grand creux. C'est assez déroutant pour une hypersensible et une éponge comme moi mais c'est ainsi...
Prochaine lecture: Les heures souterraines, Delphine de Vigan