Titre: Il ne faut pas parler dans l'ascenseur
Auteur: Martin Michaud
Genre : Thriller
Quatrième de couverture: Une jeune femme s’éveille après vingt-quatre heures passées dans le coma et se lance à la recherche d’un homme qui semble ne pas exister.
Un meurtrier sans merci décide que chacun doit payer pour ses fautes et applique sa propre justice. Des meurtres commis à une journée d’intervalle dans des circonstances identiques tourmente le responsable de l'enquête, le sergent détective Victor Lessard, de la police de la Ville de Montréal.
Mon avis: Simone Fortin vient de se faire renverser par une voiture. Elle tombe dans le coma. A son réveil, elle se donne corps et âme pour retrouver l'homme avec qui elle a passé ses dernières vingt-quatre heures. Oui mais voilà, cet homme n'existe pas.
Parallèlement, deux meurtres sont commis. Quel est le lien entre tout ça ?
Nous rentrons dans une haletante enquête auprès de Victor Lessard. J'ai tout de suite été plongée dans l'histoire et depuis deux jours je n'avais d'obsession que pour ce livre.
Tout commence par un meurtre, puis une tentative ratée d'un autre. L'enquête démarre réellement avec la découverte d'un autre corps. Parallèlement, nous suivons Simone qui tente de retrouver ce fameux Miles avec qui elle a passé ses dernières heures. Qui est-il ? Où est-il ? Très vite, les deux histoires vont se rejoindre pour n'en former qu'une.
Tout est très flou au début mais on sent qu'il y a un lien entre les personnages et les enquêtes, des secrets à percer et cette histoire de coma m'a vraiment fait vibrer. Le paranormal rentre à petite dose et c'est franchement bien amené.
Tous les ingrédients pour un super thriller !
Le style est fluide, l'histoire se suit bien et le suspens est bien tenu. Les personnages se dévoilent au fur et à mesure, les liens se font petit à petit.
J'ai adoré la forme comme le fond. Cette petite touche de paranormal en rajoute une couche.
Les personnages nous torturent, on essaie de faire des hypothèses, on part sur des pistes improbables et Michaud nous balade sans jamais nous perdre.
Je n'ai pas eu de coup de coeur mais ce n'est vraiment pas passé loin...
La fin m'a transportée, j'étais contente que toute la vérité éclate enfin.
J'ai reçu ce livre en partenariat avec les éditions Kennes sans l'avoir demandé. J'ai eu un peu peur au début mais finalement, quelle superbe découverte, c'était génial !
Merci aux éditions Kennes !
Parallèlement, deux meurtres sont commis. Quel est le lien entre tout ça ?
Nous rentrons dans une haletante enquête auprès de Victor Lessard. J'ai tout de suite été plongée dans l'histoire et depuis deux jours je n'avais d'obsession que pour ce livre.
Tout commence par un meurtre, puis une tentative ratée d'un autre. L'enquête démarre réellement avec la découverte d'un autre corps. Parallèlement, nous suivons Simone qui tente de retrouver ce fameux Miles avec qui elle a passé ses dernières heures. Qui est-il ? Où est-il ? Très vite, les deux histoires vont se rejoindre pour n'en former qu'une.
Tout est très flou au début mais on sent qu'il y a un lien entre les personnages et les enquêtes, des secrets à percer et cette histoire de coma m'a vraiment fait vibrer. Le paranormal rentre à petite dose et c'est franchement bien amené.
Tous les ingrédients pour un super thriller !
Le style est fluide, l'histoire se suit bien et le suspens est bien tenu. Les personnages se dévoilent au fur et à mesure, les liens se font petit à petit.
J'ai adoré la forme comme le fond. Cette petite touche de paranormal en rajoute une couche.
Les personnages nous torturent, on essaie de faire des hypothèses, on part sur des pistes improbables et Michaud nous balade sans jamais nous perdre.
Je n'ai pas eu de coup de coeur mais ce n'est vraiment pas passé loin...
La fin m'a transportée, j'étais contente que toute la vérité éclate enfin.
J'ai reçu ce livre en partenariat avec les éditions Kennes sans l'avoir demandé. J'ai eu un peu peur au début mais finalement, quelle superbe découverte, c'était génial !
Merci aux éditions Kennes !
Prochaine lecture: Delta Charlie Delta, Laurent Guillaume