Titre: J'ai douze ans... et je vis enfermé dans la soupente
Auteur: Inès de Kertanguy
Genre: Drame / Témoignage
Quatrième de couverture: Comment survivre lorsqu'on est enfermé à double tour par sa propre mère et son beau-père dans une soupente ?
Mon avis: J'avais abandonné l'idée de lire ce livre parce qu'il n'était plus édité et je l'ai trouvé par hasard en numérique...
Ce livre, c'est l'histoire d'un petit garçon de 12 ans, racontée par lui même. Rejeté par sa mère depuis sa naissance, l'arrivée de son beau-père va être pour lui le début de l'enfermement. Coups, privation, abandon, ... tel va devenir son quotidien. Il ne peut compter que sur lui même pour survivre face à des adultes tortionnaires et sans coeur.
Il vit dans un monde qu'il se construit lui même. Avec ce qu'il a sous la main. On ne peut être que touché par les paroles de ce gamin naïf et qui malgré tout garde l'espoir et l'amour de la vie. Il sait se contenter de peu.
Pour son âge il analyse bien les choses, peut être un peu trop parfois ?
J'ai eu énormément d'empathie pour ce gosse sensible. J'ai eu envie de le rassurer, le prendre dans mes bras. Personne ne devrait vivre ça. Personne.
On sent toute sa culpabilité d'exister et c'est ça le plus terrible.
Ce livre, c'est l'histoire d'un petit garçon de 12 ans, racontée par lui même. Rejeté par sa mère depuis sa naissance, l'arrivée de son beau-père va être pour lui le début de l'enfermement. Coups, privation, abandon, ... tel va devenir son quotidien. Il ne peut compter que sur lui même pour survivre face à des adultes tortionnaires et sans coeur.
Il vit dans un monde qu'il se construit lui même. Avec ce qu'il a sous la main. On ne peut être que touché par les paroles de ce gamin naïf et qui malgré tout garde l'espoir et l'amour de la vie. Il sait se contenter de peu.
Pour son âge il analyse bien les choses, peut être un peu trop parfois ?
J'ai eu énormément d'empathie pour ce gosse sensible. J'ai eu envie de le rassurer, le prendre dans mes bras. Personne ne devrait vivre ça. Personne.
On sent toute sa culpabilité d'exister et c'est ça le plus terrible.
"Je pense que ma mère est mon enfer et que moi, je suis l’enfer de ma mère."
Prochaine lecture: Célibataire longue durée, Véronique Poulain