Titre: L'amour sans le faire
Auteur: Serge Joncour
Genre: Drame contemporain
Quatrième de couverture: Après dix ans de silence, Franck téléphone un soir à ses parents. C'est curieusement un petit garçon au même prénom que son frère disparu qui lui répond. Franck décide alors de revenir dans la ferme familiale. Louise, elle, a prévu d'y passer quelques jours avec son fils. La rencontre va bouleverser ces deux êtres abîmés par la vie.
Mon avis: Deuxième déception de la semaine !
J'ai acheté ce livre lors du salon du livre de Vannes l'été dernier. J'ai rencontré monsieur Joncour très vite parce qu'il venait d'arriver et c'était la cohue !
Et bien me voilà à lire son livre, presqu'un an après et... je suis déçue !
L'écriture est belle, elle nous transporte dans des réflexions sur la vie, la famille, l'amour mais ce n'est pas assez pour me convaincre.
Dans le fond il se passe... rien ! Je m'attendais à une belle histoire d'amour sur fond de blessures du passé mais il n'en est rien et je me demande comment l'auteur a tenu sur 300 pages...
Je retiens quand même ce petit garçon nommé Alexandre et qui est touchant malgré encore une fois un survol du personnage.
Bref, je ne vais pas m'étendre plus, vous l'aurez compris, ce fûtencore une déception en espérant que la prochaine, ce sera la bonne.
J'ai acheté ce livre lors du salon du livre de Vannes l'été dernier. J'ai rencontré monsieur Joncour très vite parce qu'il venait d'arriver et c'était la cohue !
Et bien me voilà à lire son livre, presqu'un an après et... je suis déçue !
L'écriture est belle, elle nous transporte dans des réflexions sur la vie, la famille, l'amour mais ce n'est pas assez pour me convaincre.
Dans le fond il se passe... rien ! Je m'attendais à une belle histoire d'amour sur fond de blessures du passé mais il n'en est rien et je me demande comment l'auteur a tenu sur 300 pages...
Je retiens quand même ce petit garçon nommé Alexandre et qui est touchant malgré encore une fois un survol du personnage.
Bref, je ne vais pas m'étendre plus, vous l'aurez compris, ce fût
Prochaine lecture: Le pays sans adultes, Ondine Khayat