Titre: L'enfant au bout de la plage
Auteur: Linda Olsson
Genre: Drame
Quatrième de couverture: Marion Flint, la cinquantaine, vit seule sur une côte sauvage de Nouvelle-Zélande. Un matin, alors qu'elle se promène sur la plage pour y ramasser le bois flotté qui servira à ses sculptures, elle découvre un garçon de 6 ans.
Ika et Marion vont d'abord apprendre à s'apprivoiser, avant que naisse, entre cet enfant à part et cette femme meurtrie, une singulière histoire d'amitié. Au cours de ce cheminement, Marion va se remémorer son passé – avant que la vie ne la brise, quand elle s'appelait Marianne et habitait en Suède – et tenter, enfin, de se réinventer...
Mon avis: J'avais trouvé ce livre par hasard alors je me le suis pris. Et c'est Mana, ma binômette de mon challenge "Pioche" qui s'est chargée de me le faire lire.
Marion vit seule sur une côté sauvage de la Nouvelle-Zélande. Chaque jeudi, Ika, un petit garçon espiègle vient lui rendre visite et ensemble, ils partagent de délicieux moments de complicité. Semaine après semaine, cette relation se développe et un véritable attachement voit le jour.
Je ressors perplexe de cette lecture qui avait tout pour me toucher. Malheureusement la magie n'a pas opérée et... c'est frustrant.
Marion nous raconte cette histoire d'amitié, avec Ika, petit garçon particulier, sorti de nulle part.
Parallèlement, elle nous raconte Marianne, celle qu'elle a été avant d'être celle qu'elle est devenue aujourd'hui.
Bien que sujet sensible que cette rétrospective, l'écriture ne m'a pas touchée. Les mots ne m'ont pas pénétrée.
J'ai eu du mal aussi avec les allers-retours dans le temps. Surtout qu'il n'y a aucun lien chronologique entre eux. Malgré toutes les douleurs, la sensibilité de Marion, la souffrance d'Ika et les drames, je n'ai pas adhéré à cette quête d'identité, cette reconstruction.
Le récit est triste. Il est fait de bouleversements, de drames et laisse peu de place à l'espoir, à la vie. J'aurais voulu apercevoir la lumière. Sans en faire un récit pathétique, il reste dur.
La fin s'adoucit un peu. J'ai quand même été poussée par la curiosité de savoir comment tout cela allait se terminer...
Marion vit seule sur une côté sauvage de la Nouvelle-Zélande. Chaque jeudi, Ika, un petit garçon espiègle vient lui rendre visite et ensemble, ils partagent de délicieux moments de complicité. Semaine après semaine, cette relation se développe et un véritable attachement voit le jour.
Je ressors perplexe de cette lecture qui avait tout pour me toucher. Malheureusement la magie n'a pas opérée et... c'est frustrant.
Marion nous raconte cette histoire d'amitié, avec Ika, petit garçon particulier, sorti de nulle part.
Parallèlement, elle nous raconte Marianne, celle qu'elle a été avant d'être celle qu'elle est devenue aujourd'hui.
Bien que sujet sensible que cette rétrospective, l'écriture ne m'a pas touchée. Les mots ne m'ont pas pénétrée.
J'ai eu du mal aussi avec les allers-retours dans le temps. Surtout qu'il n'y a aucun lien chronologique entre eux. Malgré toutes les douleurs, la sensibilité de Marion, la souffrance d'Ika et les drames, je n'ai pas adhéré à cette quête d'identité, cette reconstruction.
Le récit est triste. Il est fait de bouleversements, de drames et laisse peu de place à l'espoir, à la vie. J'aurais voulu apercevoir la lumière. Sans en faire un récit pathétique, il reste dur.
La fin s'adoucit un peu. J'ai quand même été poussée par la curiosité de savoir comment tout cela allait se terminer...
Prochaine lecture: Tu me plais, Jacques Expert