Titre: L'esclave de Monsieur Solal
Auteur: Esparbec
Genre: Erotisme
Quatrième de couverture: Esparbec nous entraîne dans ce livre à la Petite Sicile, quartier pauvre de Tunis à proximité du port, où il passa une partie de sa jeunesse auprès de sa mère, sa tante, sa sœur et ses cousines. C'est là, entouré de femmes jeunes et moins jeunes, ingénues ou perverses, que le garçon vit ses premiers émois sexuels, tantôt voyeur des jeux lubriques de la mère, tantôt complice des scénarios interdits imaginés par les cousines... Une initiation délicieusement transgressive, sur un fil entre l'innocence des découvertes et l'expérimentation du tabou.
Mon avis: Avec Esparbec je ne suis jamais déçue. C'est donc en toute confiance que j'ai commencé ma lecture.
Ce roman se veut autobiographique. On y suit Esparbec en personne, qui découvre ses premiers émois sexuels. Et c'est avec sa soeur et ses cousines qu'il va y goûter pour la première fois.
Je n'ai pas ressenti la même tension sexuelle habituelle. Pourtant les scènes torrides sont bien présentes mais ça manquait de profondeur pour un peu plus de croustillant. C'est trop éparse, pas assez construit et on perd souvent le fil...
Et puis il n'y a pas d'évolution. C'est répétitif et ça ne mène à pas grand chose.
Je suis également restée sur ma faim avec ses teasers sur la relation voyeuriste qu'il entretient avec sa mère. J'aurais voulu de l'action.
Dommage, il promet un deuxième volet plus explicite alors prenons notre mal en patience...
Merci aux éditions La Musardine pour cette lecture !
Ce roman se veut autobiographique. On y suit Esparbec en personne, qui découvre ses premiers émois sexuels. Et c'est avec sa soeur et ses cousines qu'il va y goûter pour la première fois.
Je n'ai pas ressenti la même tension sexuelle habituelle. Pourtant les scènes torrides sont bien présentes mais ça manquait de profondeur pour un peu plus de croustillant. C'est trop éparse, pas assez construit et on perd souvent le fil...
Et puis il n'y a pas d'évolution. C'est répétitif et ça ne mène à pas grand chose.
Je suis également restée sur ma faim avec ses teasers sur la relation voyeuriste qu'il entretient avec sa mère. J'aurais voulu de l'action.
Dommage, il promet un deuxième volet plus explicite alors prenons notre mal en patience...
Merci aux éditions La Musardine pour cette lecture !
Prochaine lecture: Jours parfaits, Raphaël Montes