Titre: Le bleu entre le ciel et la mer
Auteur: Susan Abulhawa
Genre: Historique
Quatrième de couverture: 1947. La famille Baraka vit à Beit Daras, village paisible de Palestine entouré d’oliveraies. Nazmiyeh, la fille aînée, s’occupe de leur mère, une veuve sujette à d’étranges crises de démence, tandis que son frère Mamdouh s’occupe des abeilles du village. Mariam, leur jeune sœur aux magnifiques yeux vairons, passe ses journées à écrire en compagnie de son ami imaginaire. Lorsque les troupes israéliennes se regroupent aux abords du village, Beit Daras est mis à feu et à sang, et la famille doit prendre la route, au milieu de la fumée et des cendres, pour rejoindre Gaza et tenter de se reconstruire dans l’exil.
Seize ans plus tard, Nur, la petite-fille de Mamdouh, s’est installée aux États-Unis. Tombée amoureuse d’un médecin qui travaille en Palestine, elle décide de l’y suivre. Un voyage au cours duquel elle découvrira que les liens du sang résistent à toutes les séparations – même la mort.
Mon avis: Première grosse déception de l'année. On a frôlé la panne de lecture !
J'ai eu énormément de mal à lire ce livre... Pourtant, le résumé donnait envie mais... non.
D'abord, je me suis emmêlée les pinceaux avec tous ces personnages et tous les liens qu'ils avaient entre eux. Il y avait un arbre généalogique au tout début du livre auquel je me référais sans cesse sans jamais enregistrer quoi que ce soit...
Du coup je ne me suis attachée à aucun personnage et autant vous dire que leurs sorts et leurs devenirs ont glissé sur moi comme un pain de savon...
Je n'ai absolument pas retrouvé l'histoire promis en quatrième. Peut être est-ce parce que je n'ai jamais pu rentrer dans le livre, peut être est-ce mon manque de concentration. Je ne sais pas. Toujours est-il qu'il a été très difficile de percevoir tout ce que j'attendais de ce roman, son côté romancé sur fond de guerre.
Le style d'écriture est difficile. C'est haché, sans transitions. Malgré quelques belles phrases, l'auteur nous perd. C'est tout sauf fluide et chaleureux. Je crois bien que ce point là y a été pour beaucoup dans mon rejet de cette lecture.
Ces différents points ont fait que je n'ai absolument pas pu accéder à l'histoire de fond. Je n'ai absolument rien compris.
Je suis un peu frustrée parce que ça promettait d'être une "jolie" histoire sur fond de conflit israélo-palestinien. C'aurait été pour moi l'occasion d'en apprendre davantage sur cette guerre qui n'a jamais cessé d'exister.
Et nous étions là du côté des opprimés.
J'ai eu énormément de mal à lire ce livre... Pourtant, le résumé donnait envie mais... non.
D'abord, je me suis emmêlée les pinceaux avec tous ces personnages et tous les liens qu'ils avaient entre eux. Il y avait un arbre généalogique au tout début du livre auquel je me référais sans cesse sans jamais enregistrer quoi que ce soit...
Du coup je ne me suis attachée à aucun personnage et autant vous dire que leurs sorts et leurs devenirs ont glissé sur moi comme un pain de savon...
Je n'ai absolument pas retrouvé l'histoire promis en quatrième. Peut être est-ce parce que je n'ai jamais pu rentrer dans le livre, peut être est-ce mon manque de concentration. Je ne sais pas. Toujours est-il qu'il a été très difficile de percevoir tout ce que j'attendais de ce roman, son côté romancé sur fond de guerre.
Le style d'écriture est difficile. C'est haché, sans transitions. Malgré quelques belles phrases, l'auteur nous perd. C'est tout sauf fluide et chaleureux. Je crois bien que ce point là y a été pour beaucoup dans mon rejet de cette lecture.
Ces différents points ont fait que je n'ai absolument pas pu accéder à l'histoire de fond. Je n'ai absolument rien compris.
Je suis un peu frustrée parce que ça promettait d'être une "jolie" histoire sur fond de conflit israélo-palestinien. C'aurait été pour moi l'occasion d'en apprendre davantage sur cette guerre qui n'a jamais cessé d'exister.
Et nous étions là du côté des opprimés.
Enfin voilà, je suis déçue mais pas mécontente d'avoir été jusqu'au bout et de pouvoir tourner la dernière page et passer à autre chose.
Merci tout de même aux éditions Denoël.
Prochaine lecture: L'orpheline des neiges, Marie-Bernadette Dupuis
