Titre: Mon premier amour et autres désastres !
Auteure: Francine Pascal
Genre: Jeunesse
Résumé: Ce n'est pas facile d'avoir quinze ans et d'être amoureuse - surtout si le garçon que vous aimez en a dix sept, est beau comme Apollon et ne se doute même pas de votre existence ! Victoria a décidé de travailler comme fille au pair à Fire Island, où Jim passera l'été. Et tant pis s'il a une petite amie à New York. Tout peut arriver. Victoria se retrouve débordée de travail, avec deux petits enfants sur les bras et une kyrielle de corvées ménagères, mais elle est persuadée que le jeu en vaut la chandelle car d'abord Jim la remarque - et en plus elle lui plaît. Pourtant, si ses rêves se réalisent, pourquoi n'est-elle pas heureuse ?
Mon avis: Je n'ai jamais trouvé la réponse. xD
En fait si. Dans la complexité psychologique qu'est ce livre. On y voit évoluer une enfant en pleine crise d'adolescence qui découvre les garçons avec tout ce que cela entraîne. Tout le récit est à la première personne, c'est elle qui écrit l'histoire. C'est une demoiselle qui croque la vie avec un humour que j'aime beaucoup. Tout est tourné en dérision et à l'entendre, tous les malheurs du monde pèse sur sa petite personne. La lecture est fluide. Pleine de rires.
Au fur et à mesure du récit on la sent grandir, sa vision change et à la fin, ses objectifs ne sont plus du tout les mêmes. Elle va de désillusions en illusions d'espoir. Jusqu'au jour de gloire.
C'est un petit livre à lire pour passer le temps.
Oui, c'était court mais:
1) Ce n'est pas non plus un chef d'oeuvre.
2) Je ne lis pas pour ensuite en faire des études littéraires et
3) J'imagine que vous n'allez pas vous précipiter pour l'acheter alors j'ai juste dit ce que j'en pensais.
Voilà.
Prochaine lecture: Témoins de la vie après la vie, Dr Raymond Moody et Paul Perry
Bonjour, aujourd'hui on est dimanche. Je suis d'une humeur massacrante. Merci les menstruations. Peut être que demain ça sera plus le cas, en attendant, ma vie se barre en couille. Je n'ai ni l'envie ni le temps d'en parler alors je vous dis à un de ces jours.
