Titre: Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur
Auteur: Harper Lee
Genre: Drame
Quatrième de couverture: Dans une petite ville d’Alabama, à l’époque de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Avocat intègre et rigoureux, il est commis d’office pour défendre un Noir accusé d’avoir violé une Blanche.
Mon avis: Quelle déception... ! Ce livre me faisait peur, je savais pas pourquoi, et bien j'aurais mieux fait de suivre mon instinct et m'en passer ! ><
Je ne sais pas pourquoi ce livre a eu un tel succès, ce que les gens lui ont trouvé. Pourtant, effectivement, le résumé faisait envie. Un livre intelligent.
Années 30 en Alabama, Atticus, avocat de profession, élève seul ses deux enfants, après le décès brutal de sa femme. Il est commis d'office pour défendre un noir accusé d'avoir tué une blanche.
Inutile de vous dire que selon l'époque, cela a fait du remue-ménage.
Commençons par parler de l'écriture. L'histoire est racontée par Scout, la fille d'Atticus. J'ai trouvé d'abord un net décalage entre l'âge de la narratrice et le registre avec lequel elle parle. Le style est bien trop recherché et sophistiqué pour une enfant de 8 ans.
Ensuite, l'écriture ne m'a pas convenue du tout. Je ne me suis pas sentie à l'aise, j'avais énormément de mal à avancer ma lecture. C'est lourd, c'est alambiqué, c'est incompréhensible. Bref, pas fluide du tout, ce qui n'aide pas à la compréhension et à l'intégration dans l'histoire.
L'histoire maintenant. Quelle horreur... Je n'ai jamais réussi à entrer dedans. C'est long, c'est chiant, c'est plat, ça n'a aucun intérêt. On tourne en rond pendant 3h avec des personnages qui n'ont ni queue ni tête. A aucun moment je n'ai accroché à l'histoire ni me suis attachée à un seul des personnages.
Je n'ai trouvé aucune logique ni intérêt au récit.
Je ne ressens absolument pas l'oppression de la Grande Dépression à travers la voix de Scout, cette enfant qui vit la chose de ses yeux. J'aurais voulu en apprendre un peu plus sur cette période de l'Histoire mais malheureusement, je reste sur ma faim.
Le procès dure sur une centaine de pages et tout ceci est vite bâclé.
Bref, une grosse déception pour un livre qui promettait beaucoup...
Je ne sais pas pourquoi ce livre a eu un tel succès, ce que les gens lui ont trouvé. Pourtant, effectivement, le résumé faisait envie. Un livre intelligent.
Années 30 en Alabama, Atticus, avocat de profession, élève seul ses deux enfants, après le décès brutal de sa femme. Il est commis d'office pour défendre un noir accusé d'avoir tué une blanche.
Inutile de vous dire que selon l'époque, cela a fait du remue-ménage.
Commençons par parler de l'écriture. L'histoire est racontée par Scout, la fille d'Atticus. J'ai trouvé d'abord un net décalage entre l'âge de la narratrice et le registre avec lequel elle parle. Le style est bien trop recherché et sophistiqué pour une enfant de 8 ans.
Ensuite, l'écriture ne m'a pas convenue du tout. Je ne me suis pas sentie à l'aise, j'avais énormément de mal à avancer ma lecture. C'est lourd, c'est alambiqué, c'est incompréhensible. Bref, pas fluide du tout, ce qui n'aide pas à la compréhension et à l'intégration dans l'histoire.
L'histoire maintenant. Quelle horreur... Je n'ai jamais réussi à entrer dedans. C'est long, c'est chiant, c'est plat, ça n'a aucun intérêt. On tourne en rond pendant 3h avec des personnages qui n'ont ni queue ni tête. A aucun moment je n'ai accroché à l'histoire ni me suis attachée à un seul des personnages.
Je n'ai trouvé aucune logique ni intérêt au récit.
Je ne ressens absolument pas l'oppression de la Grande Dépression à travers la voix de Scout, cette enfant qui vit la chose de ses yeux. J'aurais voulu en apprendre un peu plus sur cette période de l'Histoire mais malheureusement, je reste sur ma faim.
Le procès dure sur une centaine de pages et tout ceci est vite bâclé.
Bref, une grosse déception pour un livre qui promettait beaucoup...
Prochaine lecture: Le chuchoteur, Donato Carrisi