Titre: Quelques minutes après minuit
Auteur: Patrick Ness
Genre: Conte/Drame
Quatrième de couverture: Depuis que sa mère est malade, Conor redoute la nuit et ses cauchemars. Quelques minutes après minuit, un monstre apparaît, qui apporte avec lui l'obscurité, le vent et les cris. C'est quelque chose de très ancien et de sauvage. Le monstre vient cherche la vérité.
Mon avis: Tout a commencé avec un film: A monster calls. Sur le générique, je me suis rendue compte qu'il était tiré d'un livre. Ce film m'a bouleversée. Avide de savoir s'il en serait de même avec le livre, je me le suis procuré. Et la magie a continué...
D'abord il faut savoir que le film et le livre sont très fidèles l'un à l'autre. Ils sont aussi complémentaires. Quant à savoir dans quel ordre il vaut mieux démarrer l'aventure, mon choix aurait été par le livre mais dans l'autre sens, ça marche aussi.
Il va être difficile de parler de ce livre sans spoiler mais il m'a énormément touchée. Conor et sa mère sont deux personnages merveilleux. Conor a treize ans et il doit déjà faire face à la maladie de sa maman. Il doit aussi se faire une place à l'école. Et c'est pas facile lorsqu'on a envie d'exister, se faire remarquer et être traité sans différence avec les autres.
Et puis il y a le monstre. Il accompagne Conor dans son acceptation mais qui est-il vraiment ?
Cette histoire est un conte, un drame, agrémentée par quelques illustrations qui sont venues imager ma lecture. C'est l'histoire d'un petit garçon prisonnier par ses angoisses.
Ce livre est merveilleux parce qu'il est une métaphore. Les cauchemars, les monstres, les peurs, la vérité... Je me suis sentie tellement bien. Malgré l'histoire de fond très triste, ce roman est une véritable ode à la vie. Il aide sur le chemin du deuil, de la reconnaissance, du lâcher prise et de cette réalité si dure à dire et à entendre.
On est totalement enrobé dans ce condensé de poésie, d'émotions fortes et d'illustrations. On se laisse bercer par cette douce chanson... Et moi j'ai bien cru y laisser une larme...
D'abord il faut savoir que le film et le livre sont très fidèles l'un à l'autre. Ils sont aussi complémentaires. Quant à savoir dans quel ordre il vaut mieux démarrer l'aventure, mon choix aurait été par le livre mais dans l'autre sens, ça marche aussi.
Il va être difficile de parler de ce livre sans spoiler mais il m'a énormément touchée. Conor et sa mère sont deux personnages merveilleux. Conor a treize ans et il doit déjà faire face à la maladie de sa maman. Il doit aussi se faire une place à l'école. Et c'est pas facile lorsqu'on a envie d'exister, se faire remarquer et être traité sans différence avec les autres.
Et puis il y a le monstre. Il accompagne Conor dans son acceptation mais qui est-il vraiment ?
Cette histoire est un conte, un drame, agrémentée par quelques illustrations qui sont venues imager ma lecture. C'est l'histoire d'un petit garçon prisonnier par ses angoisses.
Ce livre est merveilleux parce qu'il est une métaphore. Les cauchemars, les monstres, les peurs, la vérité... Je me suis sentie tellement bien. Malgré l'histoire de fond très triste, ce roman est une véritable ode à la vie. Il aide sur le chemin du deuil, de la reconnaissance, du lâcher prise et de cette réalité si dure à dire et à entendre.
On est totalement enrobé dans ce condensé de poésie, d'émotions fortes et d'illustrations. On se laisse bercer par cette douce chanson... Et moi j'ai bien cru y laisser une larme...
Prochaine lecture: Kinderzimmer, Valentine Goby