Titre: Par une nuit sans mémoire
Auteur: Nora Roberts
Genre : Policier
Quatrième de couverture: Olivia n'est encore qu'une enfant quand elle est témoin du meurtre de sa mère par son père, Sam Tanner, au moyen d'une paire de ciseaux. Vingt ans plus tard, ce dernier s'apprête à sortir de prison, avec une seule obsession: faire comprendre à sa fille qu'il est innocent. Afin d'éclairer ce drame obscur, il se confie à Noah Brady, le fils du policier qui l'a fait incarcérer. Noah est écrivain, il saura bien trouver les ressorts secrets du crime. Mais quel est le véritable but de Tanner ? Serait-ce un terrible piège ? Pour Noah et Olivia, qui se retrouvent ainsi liés, l'enjeu est d'une importance capitale...
Mon avis: C'est le deuxième livre de Nora Roberts que je découvre. Auteure pour le moins productive et mondialement connue. Même si le souvenir n'en sera pas impérissable, je passe de très bons moments de lecture à chaque fois.
C'est encore un policier/thriller. L'histoire débute sur le meurtre de Julie, jeune actrice en phase de séparation qui a une petite fille de quatre ans, Olivia. La petite arrive sur les lieux du meurtre, dans son salon, où elle voit sa mère allongée, pleine de sang, une paire de ciseaux plantée dans le dos et son père.. à ses côtés. Traumatisée, Olivia est recueillie par son oncle et sa tante puis bientôt ses grands-parents qui l'élèvent loin de tous tracas médiatiques qu'a provoqué cette affaire. Mais bientôt, Noah, fils du policier qui a retrouvé la fillette le jour du drame, devenu journaliste la contacte afin qu'il l'aide à écrire un livre sur cet événement. Mais.. ce projet ne va pas être sans conséquences. Est-ce vraiment le père d'Olivia qui a tué sa femme ce soir là ?
Très vite, on se prend d'affection pour Olivia. Fillette de quatre ans, traumatisée par le meurtre de sa mère et bientôt orpheline puisque son père est désigné parfait coupable au profil de drogué et alcoolique et condamné à vingt de prison. Et puis au fil des chapitres, on la voit grandir, mûrir. Un peu trop vite parfois vu son âge mais ce n'est qu'un détail.
C'est encore un policier/thriller. L'histoire débute sur le meurtre de Julie, jeune actrice en phase de séparation qui a une petite fille de quatre ans, Olivia. La petite arrive sur les lieux du meurtre, dans son salon, où elle voit sa mère allongée, pleine de sang, une paire de ciseaux plantée dans le dos et son père.. à ses côtés. Traumatisée, Olivia est recueillie par son oncle et sa tante puis bientôt ses grands-parents qui l'élèvent loin de tous tracas médiatiques qu'a provoqué cette affaire. Mais bientôt, Noah, fils du policier qui a retrouvé la fillette le jour du drame, devenu journaliste la contacte afin qu'il l'aide à écrire un livre sur cet événement. Mais.. ce projet ne va pas être sans conséquences. Est-ce vraiment le père d'Olivia qui a tué sa femme ce soir là ?
Très vite, on se prend d'affection pour Olivia. Fillette de quatre ans, traumatisée par le meurtre de sa mère et bientôt orpheline puisque son père est désigné parfait coupable au profil de drogué et alcoolique et condamné à vingt de prison. Et puis au fil des chapitres, on la voit grandir, mûrir. Un peu trop vite parfois vu son âge mais ce n'est qu'un détail.
Elle se bat pour garder la mémoire de sa mère partie trop vite.
Et puis elle est contactée par Noah, qui a besoin d'elle pour son livre. Mais la jeune femme ne l'entend pas de cette oreille. Il y a trop de blessures à rouvrir. Trop de gens meurtris.
L'histoire est bien menée et le suspens bien tenu. Un peu trop même je trouve. Dans le sens où l'auteure ne laisse rien filtrer et qu'on oublierait presque que le coupable n'est pas forcément celui qu'on croit flagrant.
Nous avons droit à tous les points de vue des personnages. Et pas seulement ceux des principaux. Ce qui donne une certaine dynamique au récit.
Il y a cependant des passages un peu longs et inutiles, je trouve, mais ça ne dure pas des pages et des pages et ça ne gâche en rien la lecture. Ca l'alimente, dirons-nous.
Et puis il y a cette romance qui émerge et qui n'est cependant pas négligée. Bien qu'évidente, elle n'est pas de trop et s'imbrique très bien au tout. Elle est tout aussi travaillée que le reste puisque j'ai quand même réussi à être agacée et à douter de Noah.
La fin ? Parlons-en.
Dans ce genre de romans, on s'attend à ce qu'elle soit assez marquante. Et c'est largement le cas ici. La scène de fin est intense, angoissante et bourrée de clins d'oeil.
On découvre le coupable, assez inattendu soit-il, et on se prend une grosse claque. Comme je les aime. (Non, je ne suis pas masochiste.)
Et je le répète, ce fut un excellent moment de lecture.
Merci aux éditions J'ai Lu !
Et puis elle est contactée par Noah, qui a besoin d'elle pour son livre. Mais la jeune femme ne l'entend pas de cette oreille. Il y a trop de blessures à rouvrir. Trop de gens meurtris.
L'histoire est bien menée et le suspens bien tenu. Un peu trop même je trouve. Dans le sens où l'auteure ne laisse rien filtrer et qu'on oublierait presque que le coupable n'est pas forcément celui qu'on croit flagrant.
Nous avons droit à tous les points de vue des personnages. Et pas seulement ceux des principaux. Ce qui donne une certaine dynamique au récit.
Il y a cependant des passages un peu longs et inutiles, je trouve, mais ça ne dure pas des pages et des pages et ça ne gâche en rien la lecture. Ca l'alimente, dirons-nous.
Et puis il y a cette romance qui émerge et qui n'est cependant pas négligée. Bien qu'évidente, elle n'est pas de trop et s'imbrique très bien au tout. Elle est tout aussi travaillée que le reste puisque j'ai quand même réussi à être agacée et à douter de Noah.
La fin ? Parlons-en.
Dans ce genre de romans, on s'attend à ce qu'elle soit assez marquante. Et c'est largement le cas ici. La scène de fin est intense, angoissante et bourrée de clins d'oeil.
On découvre le coupable, assez inattendu soit-il, et on se prend une grosse claque. Comme je les aime. (Non, je ne suis pas masochiste.)
Et je le répète, ce fut un excellent moment de lecture.
Merci aux éditions J'ai Lu !
Prochaine lecture: Les anges gardiens, Kristina Ohlsson