Titre: Le Pays sans Adultes
Auteur: Ondine Khayat
Genre: Drame
Quatrième de couverture: J'ai onze ans, et je vis dans une famille complètement tordue. Heureusement qu'il y a mon frère Maxence. Lui, c'est mon manuel de savoir-survivre. Le soir, on ferme nos oreilles à double tour, pour ne plus entendre les cris de nos parents qui se disputent. Croyez-moi sur parole, la vie, c'est pas pour les enfants.
Maxence a préféré partir au Pays sans Adultes. Moi, j'ai voulu le rejoindre, mais je me suis trompé de chemin. Avec mes nouveaux amis, Valentine et Hugo, on a beaucoup discuté et on s'est fait une promesse : quand on sera grands, on prendra tous les enfants malheureux dans nos filets, et on ne les relâchera que quand ils sauront vraiment nager. Promis, juré.
Mon avis: C'est avec beaucoup d'émotion que je viens vous présenter ce livre... Parce que j'ai bien cru qu'il allait enfin m'arracher ma première larme livresque. On est pas passé loin...
Ce roman me rappelle Oscar et la dame rose ou encore Au pays des kangourous...
Slimane a onze ans et c'est lui qui nous raconte l'enfer qu'il vit au quotidien avec son père alcoolique et violent et une mère incapable de protéger ses deux enfants.
C'est de son oeil d'enfant qu'on assiste à toutes ses souffrances.
La plume est légère malgré ce drame qui se déroule sous nos yeux. Parce que Slimane est un enfant. Et je crois que ça se résume à ça. Un enfant, dans toute sa joie et sa naïveté. J'ai réussi à sourire malgré toute la douleur de ce gamin abîmé par la vie alors qu'il est si jeune. J'avais envie de l'embrasser, de le prendre dans mes bras et de lui dire que non, la vie c'est pas que ça. Et au fil de l'histoire, il apprend. Il apprend que la vie ce n'est pas que ça. Parce qu'il y a Marguerite, Hugo et surtout la belle Valentine... Autant de rencontres qui vont le bouleverser.
Et puis il y a Maxence. Maxence, ce frère préféré, parfait et évidemment infaillible. Ensemble, il ne peut rien leur arriver n'est-ce pas ?
Il y a deux parties dans ce roman. La première concerne la vie de Slimane et Maxence dans toute sa violence, sa rage et son agressivité. Et la deuxième partie c'est... la vie d'après.
C'est un livre émouvant plein de souffrances, de douleurs mais aussi d'amour, d'espoir et... de vie.
Ce roman me rappelle Oscar et la dame rose ou encore Au pays des kangourous...
Slimane a onze ans et c'est lui qui nous raconte l'enfer qu'il vit au quotidien avec son père alcoolique et violent et une mère incapable de protéger ses deux enfants.
C'est de son oeil d'enfant qu'on assiste à toutes ses souffrances.
La plume est légère malgré ce drame qui se déroule sous nos yeux. Parce que Slimane est un enfant. Et je crois que ça se résume à ça. Un enfant, dans toute sa joie et sa naïveté. J'ai réussi à sourire malgré toute la douleur de ce gamin abîmé par la vie alors qu'il est si jeune. J'avais envie de l'embrasser, de le prendre dans mes bras et de lui dire que non, la vie c'est pas que ça. Et au fil de l'histoire, il apprend. Il apprend que la vie ce n'est pas que ça. Parce qu'il y a Marguerite, Hugo et surtout la belle Valentine... Autant de rencontres qui vont le bouleverser.
Et puis il y a Maxence. Maxence, ce frère préféré, parfait et évidemment infaillible. Ensemble, il ne peut rien leur arriver n'est-ce pas ?
Il y a deux parties dans ce roman. La première concerne la vie de Slimane et Maxence dans toute sa violence, sa rage et son agressivité. Et la deuxième partie c'est... la vie d'après.
C'est un livre émouvant plein de souffrances, de douleurs mais aussi d'amour, d'espoir et... de vie.
Prochaine lecture: La désobéissance, Alberto Moravia